Harlem Grand Opening

Expansion

Harlem

31 juillet 2016

Considéré comme un « flambeau d’espoir », l’église de Scientology et son centre communautaire célèbrent l’esprit qui a marqué le paysage culturel de l’histoire américaine.

Harlem, c’est… TELLEMENT de choses. Pour beaucoup de gens qui ont dû écarter des barrières pour chercher, un peu égarés, à l’intérieur du rêve américain, Harlem était à peu près tout, bon ou mauvais, mais toujours avec de la soul et beaucoup de rythme. Langston Hughes, le saint poète de la Renaissance de Harlem des années trente, en a capturé l’esprit dans ces mots : « You’ll hear their feet / Beating out and beating out a— / You think / It’s a happy beat? (Vous entendrez leurs pieds / Battre et battre un- / Vous pensez / C’est un battement heureux ?) »

Il y avait un battement heureux à Harlem lors du dernier jour de juillet 2016. La Scientology, la religion qui élève les esprits et reconstruit les sociétés, ouvrait deux nouveaux bâtiments : une église et un centre communautaire au cœur espagnol de Harlem. Ils ont été élégamment rénovés et parés — ce n’était pas une simple question d’apparence, il s’agissait pour tout le monde à Harlem, quelle que soit la couleur de sa peau ou son appartenance religieuse, d’avoir un espace de réunion — comprenez, un centre — pour renverser la tendance au déclin de la civilisation.

Johnny Ray Youngblood — lui-même prédicateur de grande classe à l’église baptiste de Mont Pisgah et un véritable ami de l’église de Scientology — a dit à l’auditoire les bienfaits qu’ils pouvaient attendre de cette nouvelle église et de son centre communautaire : « Les scientologues cherchent à aider des gens dont ils n’ont même jamais vu le visage, qu’ils n’auront probablement jamais regardés dans les yeux et dont ils ne sauront jamais le nom. … Et donc regardez cette église qui vient de naître devant nous. Elle sera un guide important pour les habitants de Harlem. »

L’église de Scientology de Harlem donne des visites guidées à la police de New York et à des directeurs d'associations. Les grands noms de la musique Chick Corea (piano) et Stanley Clarke (basse)
De La Vie Non-Stop La police de New York et des directeurs d’association font le tour de l’église (tout en haut) ; des grands noms de la musique, Chick Corea (piano) et Stanley Clarke (basse) ; des jeunes délégués (ci‑dessous) venus de 41 pays pour participer à une journée d’information sur les droits de l’homme.
Journée portes ouvertes sur les droits de l’Homme

Confiant aux Scientologues et à leurs amis la mission de mener une croisade pour arrêter la corruption et l’effondrement de la société, M. David Miscavige, le chef ecclésiastique de la Scientologie, a évoqué les mots du fondateur L. Ron Hubbard, qui a vécu à New York dans les années trente et qui y retourna pour faire une recherche sociologique au milieu des années 70 : « Ce fut aussi ici que LRH a perfectionné ses technologies pour le sauvetage de l’humanité et à propos desquelles il a écrit : “Beaucoup de réponses de la vie sont ici — et elles sont là pour que l’Homme les utilise”. Et voilà ce que représente notre nouveau centre communautaire. Pas seulement une offre d’aide, mais plutôt, notre droit et notre obligation d’aider. »

Les 6 000 mètres carrés de l’église de Harlem ont été soigneusement conçus pour garantir une circulation efficace à travers les zones religieuses et d’étude de l’établissement. Les visiteurs sont accueillis à un centre d’information, qui présente sous forme de vidéo et en textes les croyances et les programmes axés sur l’action de l’église, ainsi que la biographie de M. Hubbard. Au centre communautaire, il y a des salles de conférences, des espaces de conversation, des classes et une cafétéria.

Dès le moment où le ruban est tombé, marquant l’ouverture de l’église et du centre, l’action a battu son plein. M. Charles Rangel, député américain, a inscrit une proclamation officielle dans le journal du congrès, selon laquelle le 31 juillet 2016, le jour de l’inauguration, était le jour de la Scientology à Harlem.

Les visiteurs explorent les croyances et pratiques
Apprendre Les visiteurs explorent les croyances et les pratiques de la Scientology (ci-dessus) ; du soutien scolaire au centre communautaire (ci‑dessous) ; des scientologues étudient des cours sur la religion de Scientology (à droite ci‑dessous).

Parmi les premières personnes à participer aux activités de la nouvelle église, il y avait Mary White, une femme pasteur, qui a amené aux services dominicaux de Scientology sa congrégation chrétienne, et la révérende mère Susana Bastarrica, fondatrice de The Vigil 4 Peace & Ecology qui a réuni les habitants pour célébrer la Journée internationale de la paix.

L’art occupait aussi une place importante. Un groupe de mariachis espagnols a occupé l’espace commun du centre communautaire pour faire une répétition. Et peu de temps après, lors d’un concert qui a attiré beaucoup d’habitants d’horizons très divers, l’artiste Rappin’ Tate a chanté son œuvre musicale « Hip Hop to Hip Hope » au nom de la 125e rue.

Sommets des droits de l’homme, campagnes antidrogue, révéler à grande échelle les abus psychiatriques, célébrer l’héritage du Jazz à Harlem — toutes ces choses et d’autres encore, ont été au programme des tout premiers mois de l’existence de l’église idéale de Harlem et de son centre communautaire. Un nombre record de gens suivent des services spirituels et des cours de Scientology, et des multitudes d’enfants sont en train de construire leur vie dans les classes du centre communautaire.

La nouvelle église idéale de Harlem et son centre ont apporté l’étincelle pour rallumer la flamme de ce quartier historique si fier qui décline depuis trop longtemps. Comme M. Miscavige l’a dit à l’inauguration, « Il vous suffit de poser votre oreille au sol, et vous l’entendrez marteler encore et encore :

Harlem !

Harlem !

Harlem ! »

Église de Scientology de Harlem
DEUX POUR UN Quand l’église a conçu ses nouvelles installations à Harlem, elle a ajouté un centre communautaire où des défenseurs des droits civiques peuvent collaborer sur des programmes d’amélioration sociale.